Emmanuel Berque s’est éteint hier 7 décembre chez lui à Contis et est allé rejoindre son jumeau Maximilien. Retrouvez ici la version digitale de l’entretien qu’il nous avait accordé et originellement publié dans notre numéro 23 (décembre 2022).
Les jumeaux Berque ont incarné le surf dans son aspect le plus libertaire et le plus aventurier. Jouissant sans entrave ou presque, premiers journalistes-photographes de surf en France,explorant sans limites et dans un dépouillement qui ferait rougir bien des explorateurs à la conscience écologique de réseau social, ils ont signé un livre sur leur traversée de l’Atlantique dans un petit voilier de leur conception.
De l’air, de l’eau, de l’espace ! Le dix-septième numéro de Hotdogger réunit ces éléments vitaux pour un été de liberté.
Au cœur d’un hiver des plus doux, face à un horizon mauve, on sort de l’eau pour le nouveau numéro d’Hotdogger.
Le 15ème Hotdogger est en distribution à partir du 9 août avec Craig Anderson en couverture par John Respondek.
Portraits (Mark Cunningham, Oscar Langburne et Michelle des Bouillons), voyages (Sahara occidental et Mozambique), portfolio (Nil Puissant), culture (Belles Lignes, Sur les routes, Sur les vagues) et art de vivre (Bien Dedans, Dehors, Fooding, design, destination) toujours au rendez-vous de ce 13e numéro.
Que de kilomètres de côte parcourus et combien de personnalités rencontrées sur la route pour réaliser cette douzième édition de Hotdogger ! De la Lost Coast de Californie jusqu’aux spots d’Indonésie de Krui et de Banda Aceh en passant par la Vendée, nous vous emmenons découvrir des surfeurs, artistes et artisans talentueux. Parmi eux, le Breton Edgar Flauw et sa vision anticonformiste de la glisse, l’Allemand Carsten Kiefer, créateur de meubles design et de planches de surf, ou encore Alex Botelho, dompteur de vagues géantes. Sans oublier une sensuelle série mode et une couverture signée par Raphael Gianelli-Meriano pour lancer une saison qui s’annonce chaude à tout point de vue.
David Carson est sans aucun doute le graphiste et typographe contemporain le plus célèbre de ces dernières décennies. Parmi ses nombreux travaux, on se souvient notamment du magazine culte Ray Gun qui marqua les esprits au milieu des années 90. Surfeur semi-professionnel à la fin des années 70, il dirigea ensuite la conception graphique des éditions Transworld (TWS Skateboarding & Snowboarding), Surfer Magazine
Herbie Fletcher skatait des piscines vides avant que les skateparks ne soient inventés. Il tractait ses amis Martin Potter et Tom Carroll sur le spot de Pipeline bien des années avant l’apparition du tow-in (surf tracté). Il a exploré des vagues bien avant que celles-ci fassent les couvertures des magazines. Quant à son fils, Nathan
Le Sud-Africain Ricky Basnett revient de l’enfer. Présenté comme la nouvelle star du surf sud-africain à son arrivée sur le circuit professionnel mondial ASP (l’ex World Surf League), Basnett n’a pas réussi à confirmer tous les espoirs qui étaient placés en lui. Perdu, il s’enfonce dans l’alcool et la dépression pendant huit ans avant de refaire surface récemment, sauvé par sa passion pour le surf.
Pour Kai Neville, chaque avant-première d’un de ses nouveaux films est toujours un moment excitant. « J’adore être dans la salle et écouter les réactions. » Pour son dernier film intitulé Cluster, le réalisateur australien, considéré comme le plus doué de sa génération, a choisi de revenir à un style de vidéo estampillé « années 90 »
Imaginez un des plus grands champions que l’Australie ait jamais connu, un surfeur au style flamboyant qui embrasse avec passion les années soixante. Puis imaginez qu’il décide de changer de sexe. C’est l’histoire de Peter Drouyn, playboy invétéré et authentique dandy, devenu Westerly Windina, une splendide jeune femme de 66 ans.
Le biopic Love & Mercy présente un portrait audacieux de Brian Wilson, leader charismatique des Beach Boys, un des groupes les plus populaires et créatif de tous les temps
Tomo est un shaper unique en son genre. Dans la lignée des Bob Simmons, il n’a de cesse de se creuser la tête pour trouver l’équation absolue qui lui donnera la planche ultime. Rencontre dans son atelier high-tech de Carlsbad, en Californie.
Après les succès d’Endless Summer (1966) Bruce Brown aurait pu céder aux sirènes d’Hollywood. Le film qui avait coûté cinquante mille dollars en rapporta trente cinq millions, de quoi éveiller l’attention des plus grands studios. Il osa jusqu’à suggérer à Robert Evans, le président de la puissante Paramount, d’investir le million de dollars qu’il lui proposait pour financer son prochain film dans les projets d’aspirants réalisateurs.