Être à l’heure H, cruciale, pour que les ciels s’embrasent, c’est l’heure en or qui illumine la couverture de ce 30ème Hotdogger où tout y est question de rythme.

Photo de couverture : Valentin Figuier.

À l’orée d’un moment particulier (on fête nos dix ans en décembre), quelques belles signatures se sont jointes à nos plumes fidèles.

William Finnegan, l’auteur de Jours Barbares, nous fait le portrait insolite de Jock Sutherland, l’un des meilleurs surfeurs des années 70 à Hawaii (à commencer par Pipeline). En marge de l’industrie du surf, celui qui est toujours couvreur, a été capable des plus grandes excentricités tout en cultivant un surf des plus purs (et ambidextre !). Initialement publié dans The New Yorker.

Jamie Brisick signe son retour dans Hotdogger et il nous raconte la fin insolite de l’aventure de Peter Drouyn, grand surfeur australien des mêmes années 70, qui avait choisi il y a plus de dix ans de devenir une femme, Westerly Windina, dont nous avions publié le destin dans La Plus Belle pour aller surfer (Hotdogger #2, printemps 2015).

Il y aura aussi, dans ce numéro d’or, une évocation de l’île de la Réunion de la fin du siècle dernier, les expérimentations de John Kerry et ses hydroplanes (par Tristan Mausse), la recette de Simon Auscher, la redécouverte du Capitaine Zero, roman d’aventures surf exceptionnel, le label Marcel Bernard et toutes nos rubriques habituelles. Et plus encore…

En diffusion à partir du 18 octobre.

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